L’inconvénient d’être nez

Le zèbre s’entête avec force et fonce sans s’enraciner.
Souvenir de l’Empire, ils conspirent pour le pire,
Transpirent comme des vampires, brouillent le sourire ; soupir.
Les ténèbres ne peuvent triompher face à autant de clarté.

Tant de nationalisme primaire, temps de vandalisme sanitaire.
Tu trembles. Est-ce pour le Mal, ou est-ce pour le Bien ?
Toujours vénère, pure bouffée d’air, puisqu’ils vénèrent cette ère.
Superflu de surpasser un record pour avoir l’impression d’être quelqu’un.

La confrontaction se conforte sans le confort des mort.e.s.
1857, j’époussette pendant qu’ils tirent des poussettes.
Leur esprit est colonisé, la haine, accolée à l’hameçon ;
Uniquement la compréhension apporte l’union de toute façon.

Dans le zoo parcourent toujours des gardiens ;
Dans le lot, des vautours et des arrogants, des hautains,
Qui voltigent et s’arrangent en haranguant.
Tous possèdent des gants blancs se substituant.

Seulement tous les cheminements ne sont pas lumineux ;
Inférence insolente, syllogisme de l’amertume, sujet épineux.